Une Quête.

Je
redressa vivement la tête quand Dark passa rapidement entre mes deux
oreilles. Je ne put cacher qu'il m'avait légèrement fait sursauter.
J'avais entendu parler récemment , d'une quête, un message , quelque
chose d'étrange, et j'était un grand curieux , le message disait que
c'était très dangereux , et que je risquerait ma vie en m'entrainant
dans cette aventure. Mais je m'en contre fichait , ce que je voulais
c'était trouver ce cheval qui m'indiquerais la suite , et que je puisse
savoir à quoi tout cela aboutirait. J'étais dans un endroit très sombre ,
je distinguait à peine où je posait mes sabots. Je pouvais parcontre
entendre le bruits des battements d'ailes du corbeau qui vint bientôt se
poser sur mon garrot. Cet endroit était assez mystérieux , et des bruis
étranges y reignaient , pendant un instant je crut au simple bruit de
mes sabots martelant le sol , mais quand je m'arrêtta je fini par
comprendre que je mettait tromper , ce n'était pas mes sabots , non , il
y avait quelqu'un d'autre ici , et je devais savoir qui ou quoi était à
l'origine de cela. Les oreilles en avant je ronfla légèrement des
naseaux , laissant évacuer une fumée blanche à mon expiration dut au
froid qu'il y avait ici. En dressant la tête , j'apperçut de la lumière,
sans vraiment réffléchir , ce que j'aurais dut normalement faire , je
m'engagea vers ce couloir lumineux , puis mon coeur fit un bon quand
quelque chose passa derrière moi , je me retourna , fixant chaque
recoins , quand je réussit à percevoir des yeux , rouges, oui il étaient
bel et bien rouge , c'était guère rassurant, à l'odeur ce n'était pas
un cheval. Je ne connaissait pas cette odeur , en tout cas c'était trop
grand pour être un chien ou un loup mais trop petit pour être un
horrible monstre qui mangeait tout le monde dans les histoires qu'ont me
contaient étant enfant. Je grogna légèrement quand celui eut l'air de
se dresser et de se rapprocher de moi. Dark , lui s'envola pour partir
haut dans le ciel , peureusement. Il avait dut lui aussi comprendre
l'amplitude de ce danger. Je me cabra légèrement et fit un bon en
arrière , reculant les oreilles plaquer sur ma nuque , je fini par
arriver là où il y avait de la lumière et mes yeux purent finir par
discerner la chose qui m'avait approché , c'était un ours , oui un grand
ours brun , un grizzly il me semble , il était grand , très grand et
imposant , ses grosses pattes énormes étaient deux fois plus grosses que
mes sabots et ses griffes étaient longues et avaient l'air tranchtante ,
je n'avais aucune chance contre cet abonminable monstre ,aucune , je
devais fuir , comme mon ami le corbeau , mais ma fierté me disait de
rester devant lui , et je le défia du regard. L'ours grogna et se jetta
sur moi , me griffant le poitrail , je grogna de doueur et lui mordit
sauvagement une oreille , jusqu'a le faire saigner. Puis il se jetta sur
moi me clouant à terre , j'était sur le dos , ma fin était proche , il
était bien trop lourd et je pouvait sentir l'air chaud de ses narines
sur mon visage. Je ferma les yeux , quand soudain quelque chose arriva à
toute vitesse , Dark ! Il planta son bec violement dans l'oiel de
l'animal , celui recula , en grognant , puis fini par partir en courant .
Je resta un instant sur le dos , reprennant mon souffle , parcourant
mon corps du regard m'attardant sur une blessure au poitrail. Je
saignait un peu , mon coeur battait la chammade , puis bientôt , le
corbeau noir vint se poser sur mon ventre penchant légèrement sa tête
sur le côter , je fit un léger sourire
♦ Je te remercie , Dark , je serais mort sans toi.
Je
lui donna un léger coup de museau affectif. Celui ci se laissa faire
avant de me tirer par le toupet comme pour m'insciter à me relever , je
dressa les oreilles puis me releva , me secouant pour enlever la terre
que j'avais accumuler sur mon dos. Puis je repris le pas , beaucoup
plus méfiant cette fois ci , quand soudain une pierre roula son mon
sabot , je n'eut meme pas le temps de réagir que je tomba un peu plus
bas , sur un rocher recouvert de mousse , ce qui avait ammortis ma chute
, seulement , ce n'était pas un rocher , mais un sol peu stable qui
commençait à fissurer sous mon poids, hésitant , je regarda quand même
en bas , non , pas ça ! il y avait de l'eau , puis une grande cascade ,
je ne surviverais pas si je tombait , il fallait que je trouve un moyen
de remonter , et vite , le temps était compter , et je n'avait nulle
envie de faire le saut de l'ange. Dark lui était en train de tournoyer
au dessus de ma tête , cette fois ci il ne pourra pas me sauver , je
devais me débrouiller seul , j'était abitué et j'avais été automne très
jeune . Puis je continua de réffléchir , puis me releva , essayant de ne
pas trop appuyer tout le poids de mon corps dans mes jambes ce qui
était vraiment difficile. J'essaya temps bien que mal de retrouver mon
équilibre quand une partie de la sorte de pierre pas solide tomba. Dark ,
croassait , paniquant de me voir dans un tel état. Je fini par
comprendre que c'était la fin quand la seule partie sur laquelle je
pouvais a peu près tenir s'écroula et je tomba , dans un léger cri.
Dark
plongea dans le vide lui aussi , mais je ne le revu pas. Moi j'essayait
de me battre contre le courant qui m'emenait droit vers la cascade ,
puis en remonta ma tête a la surface quand j'avais faillit couler ,
j'essaya de reprendre de l'air et j'apperçut un rocher , sans hésiter je
m'accrocha avec ma bouche à une branche de l'arbre qui y était
accrocher puis réussit à monter dessus , debouts , j'était trempé. Je
respira rapidement , reprennant ma respiration , c'était la deuxième
fois que j'avait faillit mourir dans un chréno de seulement 10 minutes.
Comme par miracle , des rochers menaient jusqu'a la rive , je sauta
dessus , puis fini par atteindre la terre ferme. je me laissa tomber au
sol , complétement épuisé , alors que Dark vint se poser sur mon museau
heureux de me retrouver sain et sauf , sûrement. Je resta sur le sol ,
me demmandant bien si cet être qui devait m'indiquer la suite pointerais
le bout de son nez.

[Fais attention aux fautes d'orthographes assez nombreuses]

Aromés

D’en haut de mon rocher, je pouvais sagement contempler tout le paysage que m’offrait ces terres que j’arpentais depuis trop longtemps maintenant. Mes yeux avaient vu des choses que peu de chevaux ont eu l’occasion de voir, mes sabots avaient arpentaient des sols des plus bizarres et étrange et mon corps avaient connus l’astre du temps inéluctable pour tout être vivant sur terre. Maintenant, j’étais devenu l’Hermite inconnu, l’Hermite que personne ne voyait ni n’entendait, l’Hermite des rochers qu’on me surnommait. Je n’avais pas d’amis, je n’avais pas de compagne, seul la nature était mon ami.

Mon âge avancé faisait que je savais des choses que peu de chevaux savaient et certains avaient entendus par, je ne sais quel personne, mon existence et mes connaissances assez fabuleuses sur le monde et ce qu’il cachait. Encore aujourd’hui, mes yeux étaient posés sur un jeune cheval tentant de me rendre visite, la seule route menant à moi, il était entrain de l’arpenter mais sa route croisa le chemin du grizzly, venir me voir mettait chaque chevaux dans une situation des plus délicates et dangereuses, je n’avais pas choisi cet endroit pour rien car seul les plus courageux et valeureux méritent que je partage mes connaissances. Celui-ci n’était pas venu seul, il était accompagné d’un…corbeau, drôle de compagnon de voyage, ce n’était pas tout les jours qu’on voyait un cheval ami d’un corbeau, mais bon, ce n’est pas non plus ça qui étonnera le cheval blanc.

Son combat fut rude et saignant, sa vie ne tenait qu’à un fil mais son compagnon fut là pour régler le problème, il n’avait pas encore la force de battre un grizzly oui de le faire fuir, ce cheval était un jeunot et tout seul, il n’est rien mais d’un côté, un cheval seul n’est rien non plus. Mais on dirait que mère nature n’est pas satisfaite de ce combat et lui réserve un nouvel obstacle sur sa route pour me voir, tombant dans la rivière, disparaissant dans l’eau lipide bleu, cela annonçait une noyade assuré mais sa tête sorti rapidement et comme par miracle, les rochers étaient là pour l’aider à s’en sortir.

Ce petit gaillard avait eu le malheur de la nature mais aussi la chance de celle-ci, il n’était pas trop mal pour un petit jeunot de son espèce. Le seul ennui, c’est qu’il était descendu bien bas et que pour venir le voir, il devait tout remonter et Aromés, le cheval blanc, n’allait pas descendre pour le saluer, depuis trop longtemps il était en haut et ne comptait pas redescendre sur l’horizon plat. Mais pour encourager le petit, je me mis à hennir pour l’encourager et lui dire qu’il ne fait pas ça pour rien mais de là où je suis, il ne peut me voir.

« Trop haut dans le ciel, je suis.
Arpentés la montagne, il fera.
Recroiser des obstacles, il devra. »

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